GTT accélère sa transformation financière avec l’EPM Board et VISEO

GTT : Une entreprise en pleine transformation

Un acteur clé du transport maritime du GNL

Issu de la fusion de Gaztransport et Technigaz, GTT est une entreprise française spécialisée dans les technologies liées au transport maritime du gaz naturel liquéfié (GNL). GTT est le partenaire privilégié des chantiers navals, pour lesquels il conçoit notamment des membranes permettant d’isoler les cuves des méthaniers.

Une croissance soutenue et une diversification stratégique

GTT connaît une forte expansion. En 2023, son chiffre d’affaires a atteint 428 millions d’euros, en hausse de 39%. L’entreprise a déposé 64 brevets et diversifie ses activités vers l’hydrogène et le numérique. La croissance du chiffre d’affaires dépasse 80% au premier trimestre 2024 avec un carnet de commandes excédant 1,8 milliard d’euros, garantissant ainsi un avenir serein.

Un EPM pour accompagner la transformation financière de GTT

Un besoin de structuration

« GTT est une société d’ingénierie en pleine expansion », explique Anne-Claire Duriez, Responsable finance chez GTT. Le passage d’une ETI à une multinationale nécessite une structuration des fonctions support, notamment la finance ou les ressources humaines. Avec le temps, notre SI s’est complexifié, rendant les processus de clôture, de budget et de prévisions plus lourds. »

Le choix de l’EPM pour optimiser la gestion financière

GTT décide de commencer sa transformation financière par la refonte de son SI financier par l’EPM (et non l’ERP), autour de trois principaux modules : le suivi de projet, avec la production du plan industriel et commercial ; le reporting financier (P&L simplifié / de gestion / IFRS, bilan IFRS…) ; l’élaboration budgétaire, accélérée par une collecte centralisée des données.

L’entreprise a retenu la solution de planification d’entreprise Board, mise en place par VISEO, nommé partenaire de l’année 2024 et 2025 par l’éditeur. « Board nous promettait un suivi de projet et un reporting plus fiable et efficace, tout en réduisant le temps consacré à l’établissement de nos budgets et nos prévisionnels. »

Des bénéfices immédiats

Dès sa mise en place, l’EPM a produit des résultats concrets.  « La production du P&L de gestion groupe est passée de 10 jours à 3 jours. Le calcul des écritures analytiques mensuelles a été réduit de 5 à 2 jours, détaille Anne-Claire Duriez. La robustesse et la fiabilité des processus se sont améliorés, tandis que la collecte des données a été simplifiée. Désormais, chaque responsable alimente directement Board, facilitant l’élaboration budgétaire. GTT envisage d’ajouter des connecteurs pour intégrer automatiquement certaines données d’autres outils de son SI »

Pourquoi commencer par l’EPM et non l’ERP ?

Une vision stratégique renforcée

« Board nous offre une vision d’ensemble précieuse », explique Rayane Aïd, Chef de projet finance chez GTT.« Nous savons quels moyens mobiliser pour atteindre nos objectifs. Le reporting détaillé nous permet d’optimiser nos processus. C’est un avantage d’avoir mis en place un EPM avant un ERP. Il nous aide à identifier les chantiers nécessaires pour mieux structurer le transactionnel, notamment en matière de gestion des référentiels et de gouvernance des données. »

Un ROI rapide et une flexibilité accrue

Un projet EPM est plus court et moins coûteux qu’un ERP, avec un retour sur investissement plus rapide. « L’ERP et l’EPM sont complémentaires mais ont des objectifs distincts », souligne Mathieu Daboudet, Directeur de la practice EPM chez VISEO. « L’ERP se concentre sur l’opérationnel, tandis que l’EPM permet de mesurer la performance et d’anticiper. Beaucoup commencent par l’ERP, mais l’EPM offre un ROI rapide et aide à structurer l’ERP en identifiant les processus à optimiser. Cette approche facilite l’adhésion des équipes au projet de transformation. »

GTT ne regrette pas son choix et reste ouvert à une future mise en place d’un ERP. « Board offre la flexibilité nécessaire pour faire évoluer notre modèle de gestion. Ses interfaces sont bien plus souples que celles des ERP », conclut Mathieu Daboudet.